Laetitia Veniat, l’autrice et (à l’époque, future) éditrice, m’a proposé ce projet après avoir vu ma participation à l’Inktober 2018, trouvant que ce genre d’illustrations irait très bien avec son texte.
Je l’ai donc lu, ça m’a plu (j’ai tout de suite adoré Ptitsa, l’oiseau). J’étais curieux d’illustrer du théâtre jeunesse et je trouvais le projet de la maison d’édition (éditer de la littérature jeunesse accessible) intéressant et important.
Des années, du travail et quelques déboires plus tard (par exemple : une certaine pandémie, je ne sais pas si vous en avez entendu parler), le livre sort enfin ! Le tout premier que j’illustre.
Les notes de musique sur la couverture ne sont évidemment pas des notes au hasard ; saurez-vous deviner ce que ces oiseaux sifflent ?
Mon stylo-gel blanc a rendu l’âme sur les motifs de la cape d’Anya (dont mon poignet se souviendra), merci à ce fidèle compagnon parti trop tôt.
Mon illustration préférée est celle des cavaliers. Un clin d’œil à un célèbre peintre russe s’y cache, le voyez-vous ?
À propos du livre
Pétrouchka a perdu son chat. Elle décide de partir à sa recherche. Sur sa route, elle rencontre un épouvantail rêveur, un oiseau voleur, et bien d’autres personnages, dont la puissante Baba Yaga…
Un texte dialogué et illustré autour du folklore russe ; une mise en page adaptée, pour rendre l’écriture théâtrale accessible à tous les enfants et les inviter à partager leurs lectures, jouer avec le texte, s’inventer des mondes.
Teaser vidéo
Suivez les pas de Pétrouchka De-ci de-là, à travers bois Restez prudents, soyez vaillants Baba Yaga se joue du temps Prêtez l’oreille à la bonne vieille Qui pare l’histoire de mille merveilles
Dans les coulisses
Laetitia Veniat, l’autrice et (à l’époque, future) éditrice, m’a proposé ce projet après avoir vu ma participation à l’Inktober 2018, trouvant que ce genre d’illustrations irait très bien avec son texte.
Je l’ai donc lu, ça m’a plu (j’ai tout de suite adoré Ptitsa, l’oiseau). J’étais curieux d’illustrer du théâtre jeunesse et je trouvais le projet de la maison d’édition (éditer de la littérature jeunesse accessible) intéressant et important.
Des années, du travail et quelques déboires plus tard (par exemple : une certaine pandémie, je ne sais pas si vous en avez entendu parler), le livre sort enfin ! Le tout premier que j’illustre.
Les notes de musique sur la couverture ne sont évidemment pas des notes au hasard ; saurez-vous deviner ce que ces oiseaux sifflent ?
Mon stylo-gel blanc a rendu l’âme sur les motifs de la cape d’Anya (dont mon poignet se souviendra), merci à ce fidèle compagnon parti trop tôt.
Mon illustration préférée est celle des cavaliers. Un clin d’œil à un célèbre peintre russe s’y cache, le voyez-vous ?
